" Découverte de la Slovénie "

 

Début mars 2002, alors que nos amis de l'AFJET, planchaient en assemblée générale parisienne, trois adhérents ligériens, Bernard Romezin, Jérôme Abou et votre serviteur découvraient la Slovénie en compagnie de Tatiana Dumas, consul de Slovénie à Saint-Etienne.

Déjà, du temps de l'ex-Yougoslavie, la Slovénie passait pour une République riche. Le parc automobile, l'état du réseau routier, la qualité de l'hôtellerie et du commerce confirment cette vision.

A l'ambassade de France, le chef de poste, M. Della Gardia nous assure que la Slovénie est un bon marché pour les entreprises françaises.

Quant au tourisme, c'est un des axes de développement du gouvernement de la nouvelle république indépendante. Il faut dire que ce pays, qui fait deux départements français, présente bien des atouts. Certes, le littoral Adriatique ne fait que 30 kilomètres contre la longue façade maritime croate. Mais ce couloir littoral abrite de bien belles stations comme Piran ou encore Portoroz, qui abrita jadis un congrès FIJET.

Comme sa voisine autrichienne, la Slovénie joue la carte thalasso avec pas moins de quatorze stations. Les golfs slovène figurent parmi les plus beaux du circuit européen.

La Slovénie, c'est aussi la haute montagne dans le Tirol slovène, les stations de ski où se disputent des manches de la coupe du monde de ski. Pour les amoureux de paysage, la Slovénie, c'est le site paradisiaque de Bled, cette petite ile posée sur un lac paisible où défilent des cohortes de pèlerins acheminés en gondoles.

Enfin, la Slovénie c'est une jolie petite capitale du nom de Llublijana . Une cité dont il faut commencer la visite par le château qui la domine. De là haut, on découvre toute la ville. Une fois retendu, on flâne au bord de la rivière ou dans les artères du vieux centre austro-hongrois.

Bref, en trois jours vite passés, nous avons fait la connaissance de gens charmants dont Vena et Rodinka, deux journalistes francophiles dont nous espérons qu'elles rejoindront bien vite l'OMJET et la FIJET.